[Récit] La Sensation [WWII]

Ce qui suit est un récit écris par moi même, une de mes passions. J'espère que vous apprecierez
(PS : Ca se passe pendant la seconde guerre mondiale )
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" La Sensation "

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" Un transport aérien vous attend piste 2, runway 24. "
- Bien, Monsieur.

Décembre 1944, je suis à peine âgé de dix-neufs ans, et je suis enrôlé de force dans les parachutistes de l'armée française. On m'a souvent dis : " Explose les tronches de ces putains de boches ".. mais, ce n'était pas mon état d'esprit. La guerre n'était qu'un passage de terreur, de bruit, et de fureur. Chacun des hommes enrôlés devenez fous à l'idée de devenir une personne importante dans l'armée. Mon avion m'attendait.. j'ai reçu déjà trois mois de formations, quatre sauts, et une carrière sportive intense. C'est le jour de vérité, vais-je m'en sortir ? Est-ce vraiment nécessaire de partir tuer un " ennemi ", ou plutôt se faire fusilier, et rester en paix dans une tombe ? Qu'importe.. je n'avais pas le choix, si j'ai une chance de vivre, que je la tente, c'est le moment ou jamais.

Il est treize heures et trente minutes, mon avion décolle, avec à bord une vingtaine de jeunes soldats, tous retrouvés dans la même situation que moi. J'avais fais, pendant ma formation, la connaissance d'un seconde classe, nommé Frédérique, mais tout le monde l'appelait " Frédé ". On avait quelques passions en commun, du genre, les voitures de collections, et les jolies filles en jupe courte. Mais, à ce moment là, l'amitié était, comment dire.. coupée. On se jetait quelques regards doux, l'air de dire " Ca va aller, vieux. ", mais rien de plus. Le silence régnait, sans compter le moteur de l'avion qui tournait à son plus fort grès. Ce silence se rompt, lorsque qu'on entendit l'officier crier : " En place, debout ! On met en place les crochets, amorcez les parachutes ! ". J'aimais bien cet officier là, un vétéran de l'artillerie, qui s'est lancé dans les parachutistes, comme un vieux fou. Il était à la fois ferme, et doux.. Un moment, on entendit un gros retentissement. On s'est dis que c'était une simple batterie d'artillerie.. rien de plus. Mais ces tirs s'intensifient de plus en plus, jusqu'à devenir un énorme vacarme. Tout à coup, la porte s'ouvrit sèchement. L'officier cria : " GO GO GO ! " Le feu vert était à sa plus belle lumière, et mon ami " Frédé " sauta le premier. J'étais le troisième. Le deuxième passa devant, sauta, et moi, je m'apprêtait. Et quand je vis, en me penchant dehors, les coups de feu, et les batteries, j'ai crié : "Non, je ne .. " trop tard, l'officier m'a poussé d'un coup de pied aux fesses, la méthode à l'ancienne. J'ai senti l'air frais de l'après-midi se frottant contre moi. J'oubliais tout.. vraiment tout. A environs huit-cent mètres d'altitude, je déclencha mon parachute, qui s'ouvrit difficilement. Ces parachutes m'ont toujours fais une peur bleue. J'arrivais enfin à la terre ferme, mon endroit préféré, pendant cette guerre.
Après avoir rangé mon parachute, je pensait de suite à Frédé, mon ami. Je ne le voyais pas..personne, je ne voyais personne, mis à part des arbres déchiquetés, et des terres boueuses. J'ai crié : " Frédé ! FREDE !!! "

Et j'ai entendu : " SAM ! SAM !!! ".
C'était sa voix, et j'étais bien rassuré de l'entendre.

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Suite à venir.

Bon, je me permet de critiquer mais je n'ai aucun don la de dans, même mon orthographe laisse à désirer..

M'enfin bon, j'aimerais dire que le sujet est trop banal, on sait déjà ce qui va se passer en ayant vu le mot "parachutiste". :/

Ensuite je trouve ton écriture pas assez "belle", par la j'entend, pas assez poétique.
Mais si non, je trouve que pour ton niveau (je ne pense pas que tu sois en L ! ^^ ) C'est un beau début, peu de gens sont comme toi, et tant mieux !

Tu devrais essayer de demander à Napo' qu'il poste ces nouvelles et son début de roman pourquoi pas

Merci de tes critiques Je ne suis qu'un tout petit débutant qui écrit quelques trucs comme ça de temps à autres. Merci d'avoir fais des critiques constructives, ceci me permettra de me perfectionner à l'avenir.

Sam

Très beau récit.