La seconde renaissance française?

En parcourant comme d'habitude "Le Monde", je suis tombé sur un article dans la partie "idées" avec comme responsable de l'article Martine Aubry, maire de Lille. Je n'ai pu m'empêcher de réagir et aussi de vous le transférer, car une grosse partie de nos membres du 19éme sont français. J'ai pas pu m'empêcher de l'analyser, puisque je suis en sciences politiques.
Lien : http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/08/26/la-france-a-la-possibilite-d-inventer-un-autre-monde_3466790_3232.html

Contenu:

"Désendettement, inversion de la courbe du chômage, remise à flot de l'éducation nationale : je connais la profondeur de la crise et les dégâts des deux derniers quinquennats, et je suis pleinement solidaire du gouvernement qui, avec courage, s'attelle au redressement du pays. Si justes et efficaces qu'elles soient, aucune des lois votées, aucune des mesures prises ne sera suffisante si l'avenir n'est pas rendu plus visible et surtout plus désirable.

2008 s'éloigne, mais n'oublions pas la leçon que nous avions tirée : nous sommes confrontés à la faillite d'un système. L'heure n'est plus au rafistolage : nous avons la responsabilité de faire émerger un monde nouveau. Oui, c'est à ce niveau que nous devons fixer notre ambition politique, celui d'une nouvelle "renaissance". Renaissance, je choisis ce terme au plus loin de toute idée de restauration d'un temps passé, source de régression et de repli, et en référence aux composantes essentielles du mouvement qui a sorti l'Europe du Moyen Age : l'homme remis au coeur de la société, le progrès scientifique, la nature magnifiée, l'ouverture au monde. Ici, nulle utopie irréalisable : j'ai pu le mesurer encore dans mes déplacements récents en Chine, la France dispose d'atouts incomparables et les prémices de ce nouveau monde sont déjà là. Je crois une telle ambition seule de nature à sortir notre pays du marasme et de la déprime. Les Français ne sont jamais aussi heureux que lorsqu'ils se réunissent autour de grandes ambitions collectives. C'est l'honneur de la politique de mobiliser la nation tout entière sur ce chemin.

RENAISSANCE D'ABORD INDUSTRIELLE

La renaissance doit être d'abord industrielle. Une nouvelle croissance durable pour renouer avec l'emploi et le progrès naîtra à la croisée des nouvelles technologies – numérique, bio et nanotechnologies, énergies renouvelables... et des besoins de l'homme et de la société. Nos atouts, ici, comment ne pas les voir ! L'énergie ? Qui pourrait dénier à la France, qui a été championne dans le domaine énergétique, la capacité de devenir un fer de lance mondial dans le solaire, l'éolien et le géothermique ! La santé ? Nos chercheurs sont à la pointe de l'innovation médicale. Les villes de demain, à la fois durables et mixtes ? Nous détenons toutes les compétences de l'urbanisme et de l'architecture jusqu'au traitement des déchets, au transport, à l'énergie, en passant par l'écoconstruction. Et beaucoup de nos secteurs traditionnels ont trouvé le chemin de l'avenir : les textiles techniques et innovants, l'e-transport, l'e-commerce, l'automobile du futur, l'alimentation de qualité...

Alors arrêtons le défaitisme. Bâtissons un Etat stratège, qui donne les impulsions nécessaires aux filières d'avenir, investit dans la recherche, la formation et les infrastructures, et remet la finance au service de l'économie. Surmontons le conservatisme des gardiens du vieux monde, et donnons corps – par la négociation, la réglementation, une grande réforme fiscale – à la sociale écologie de marché : une économie sobre écologiquement, une économie de la coopération plutôt que la mise en concurrence de tous, et une économie du bien-être plutôt que du tout-avoir, qui, sans renoncer à satisfaire les besoins matériels, rompt avec le consumérisme en reconnaissant le logement, la santé, l'éducation et la culture comme des éléments structurants de la société. Tels sont les contours d'une révolution industrielle que notre génération a la responsabilité de faire advenir !

MODÈLE SOCIAL ÉBRANLÉ


La renaissance doit être aussi celle de l'action et des services publics. Notre modèle social est ébranlé dans ses équilibres financiers, et peine à réduire les inégalités. La droite a voulu en tirer profit pour le mettre à terre. Nous, nous devons le réformer pour le conforter, car nous savons qu'il n'est pas d'égalité réelle sans services publics performants. Dans une société où à la fois la demande d'autonomie est forte et les disparités plus grandes que jamais, l'enjeu majeur est la personnalisation des réponses à apporter, sans rien perdre des protections collectives. C'est possible avec une éducation nationale qui offre à chaque enfant des pédagogies et des rythmes adaptés à ses difficultés comme à ses facilités : c'est là la refondation de l'école. Avec une sécurité sociale professionnelle donnant à chacun la possibilité de progresser tout au long de sa vie professionnelle et de rebondir en cas de difficulté.

Avec une décentralisation qui fait de la créativité de nos régions et de nos métropoles le terreau du développement du pays ; et de nos villes et départements le bras de proximité d'une solidarité nationale garantie par une puissante péréquation. Avec une réforme des retraites qui, plutôt que de considérer l'allongement de la vie comme un problème, propose – compte épargne temps, prise en compte de la pénibilité et de la précarité, dépendance, place des seniors dans la cité... – de transformer ces années ajoutées à la vie en vie ajoutée aux années. La question de l'équilibre des régimes doit être traitée, mais elle se réglera dès lors que nous portons une réforme de société, et non une vision comptable.

RENAISSANCE EUROPÉENNE

Une nouvelle renaissance ne peut être que résolument européenne, à condition de remettre l'Europe sur de bons rails. L'Europe devrait être, comme le dit si bien Jacques Delors, la compétition qui stimule, mais aussi la coopération qui renforce, la solidarité qui unit. C'est pour s'en être arrêtée à la première partie du programme – le marché unique – et avoir négligé les autres qu'elle s'est éloignée des peuples et nourrit les populismes.

La renaissance européenne exige la relance, tant les politiques d'austérité de ces dernières années ont été mortifères. Elle appelle ensuite une "super-politique" de cohésion sociale pour reconstruire l'appareil productif des pays comme la Grèce, l'Espagne et le Portugal. Elle passera aussi par une coopération renforcée entre les nations qui voudront aller plus vite : un exécutif européen doté de ressources propres comme la taxe sur les transactions financières ou l'impôt écologique ; l'harmonisation fiscale et sociale ; le "juste échange" comme doctrine commerciale pour nous battre à armes égales avec la Chine, l'Inde, l'Amérique, le Brésil... Le nouveau monde passe par l'Europe, mais aussi par une France écoutée et respectée, comme quand elle s'engage au Mali.

RENAISSANCE INSPIRÉE PAR LA CULTURE

La culture aussi doit inspirer cette renaissance. Il n'est pas pour moi de grand projet politique sans ambition culturelle. La culture est une force d'émancipation pour chacun et le ferment d'une vie collective par le partage d'émotions. Elle tend à chaque génération son miroir, elle en inscrit aussi la trace, c'est-à-dire le patrimoine de demain. Voilà pourquoi j'espère pour la France une renaissance culturelle, généreuse, comme chaque alternance en a produit, en 1936 comme en 1981. Le soutien à la création et l'éducation artistique sont à cet égard prioritaires.

La renaissance que j'appelle de mes voeux doit concerner aussi nos valeurs, particulièrement pour donner toute sa force au vivre-ensemble, malmené par le repli sur soi et l'individualisme, et menacé par le communautarisme, les extrémismes et fondamentalismes. C'est la laïcité, cet écrin qui permet à la France d'abriter toutes les croyances et les non-croyances en son sein. C'est faire respecter par chacun avec fermeté, mais aussi justice, les règles communes.

Voilà ce qui doit guider la réforme pénale. C'est aussi se souvenir que, dans notre devise républicaine, il y a la liberté et l'égalité, mais aussi la fraternité : l'attention de tous à chacun, mais aussi de chacun aux autres. Lorsque je l'ai lancé, ce débat a été caricaturé autour de la notion de care. Il n'en reste pas moins qu'il convient de revendiquer l'altruisme comme une valeur sans laquelle aucune société ne tient debout durablement.

Alors, nourrissons pour la France une grande ambition, celle de lui redonner sa mission historique d'un pays qui ouvre des perspectives pour la culture, la science, l'imagination, la liberté, le bien-être ! Et, pour cela, misons sur le talent des créateurs et des chercheurs, le savoir-faire des salariés, le dynamisme des artisans et des commerçants, des agriculteurs et des entrepreneurs. Sachons mobiliser les collectivités locales, les bénévoles associatifs et syndicaux. Faisons confiance à la jeunesse de France, en cessant de la considérer comme une catégorie dont il faut régler les problèmes – il le faut, bien sûr, chômage en tête ! – mais comme la génération qui, avec ses rêves, ses valeurs, sa culture, est par essence la clé de l'avenir. Ce nouveau monde est à notre portée. C'est une tâche immense mais ô combien exaltante !"

(Aubry, " La France a la possibilité d'inventer un autre monde", 2013 , article Le Monde)


Analyse.

Dans l'introduction, on voit clairement qu'elle s'adresse au gouvernement Sarkozy et Chirac et les rend responsables , en partie de la dégringolade de la France. Que du politique! En même temps, elle demande une vision plus claire du gouvernement Hollande (qu'elle soutient), sur sa réelle politique. Elle voudrait une politique étrangère plus importante, plus expansionniste et favoriser l'union nationale pour des grands projets (on entend souvent ça , non?).

Dans la partie renaissance industrielle, on voit clairement qu'elle veut promouvoir et accroitre l'industrie , la rendre plus efficace, plus écologique, plus moderne. Mais ça ne veut pas dire qu'elle abandonnera pour le moment les industrie lourdes. Aussi toutes les ressources ne sont pas sur le sol français, sinon elle l'aurai appuyé son argument avec ces deux mots...

Elle voudrait également avec son projet rompre avec la société consumériste d'aujourd'hui  et une nouvelle révolution industrielle avec la refonte de l'économie d'aujourd'hui pour une économie  plus coopérative , plus altruiste.
Alors l'Etat stratège c'est la relation entre les administrations centrales et les services du territoire de l'Etat, où la fonction stratégique et opérationnelles d'exécution administrative sont séparés (chacun son secteur et pas d'interférence), la politique publique est le cœur du développement de la nation. D'abord cela fonctionne avec adoption de mesures concrètes du gouvernement dit " distance" qui fait objet de lutte de pouvoir entre 3 acteurs: ministère de l'intérieur, du budget et de la fonction publique.
L'autre point à retenir de ce type d'Etat est l'utilisation de la new public management avec une nouvelle catégorisation légitime de l'Etat par des hauts fonctionnaires réformiste de la commission ayant une évaluation constante de leurs acquis. Ce type d'Etat a été crée durant les années 90 en France.

Dans modèle social ébranlé, on voit clairement une critique du monde financier stimulant les écarts entre les classes et aussi une pique aux partis de droite (message politique indiquant que la gauche ne détruit pas votre avenir).Elle voudrait une refonte de la sécurité sociale plus active, que le rapprochement de l'égalité ne peut se faire sans services publics performants. Et aussi une valorisation plus poussée de l'instruction.
Elle voudrait qu'on cesse que le régime des retraités soient un problème et qu'on cesse d'avoir une vision "thésauriseur" avec les retraités qui vivent plus longtemps en étant un problème.

Dans renaissance européenne, elle critique la politique européenne de faire uniquement du marché unique en laissant aux oubliettes la coopération et l'union. Car l'Europe, avec ca politique commune, est l'un des marchés les plus concurrentiels et inégalitaires au monde. Elle dit que c'est la cause de la monté du nationalisme.

Elle  critique l'austérité croissante et étouffante de l'Europe , elle voudrait miser plus sur la relance et d'une cohésion sociale doté d'une banque pour venir en aide aux pays sinistrés par la crise économique ayant plus de libertés niveau payement. Ceux qui se développeront plus vite subiront une "coopération renforcée" avec comme exemples taxes écologiques ou taxe transaction financières, harmonisation  fiscale et sociale (payer les riches) , un marché pouvant égaler les pays en voie de développement (Chine, Inde) Veut elle dire par là qualité contre quantité à moindre cout et prix?

Evidemment, la France est le centre du monde pour cette nouvelle renaissance avec l'Europe, en mettant en valeurs ces actions comme Mali qui n'était pas justement une aide pour le peuple malien pour chasser les intégristes mais plutôt pour défendre les minerais, les puits de pétroles qui appartient à la France ou aux étrangers occidentaux. On a camouflé cette opération de sauvetage de géopolitiques, d'intérêts financiers, économiques et sources nucléaires par un sauvetage du peuple malien contre les intégristes...

Dans renaissance inspirée par la culture, moi étant avant en histoire de l'Art et en sciences sociales, j'ai vu les effets des cours d'art dans les écoles parisiennes comme vecteur de la culture. Tous les jeunes, communiquent entre eux, quels que soit leurs classes. Et le taux de violence dans ces écoles a baissé de trente % , le niveau des enfants pauvres a accroit tel qu'il réussissent de maniéré égale à ceux qui ont les moyens à l'université. Aubry défend la laïcité, qui est le juge des croyances et non-croyances. Bien que la liberté de culte existe , ce n'est pour elle pas une raison de ne pas s'ouvrir aux autres et encore moins de faire preuve de chasse aux hérétiques des valeurs des autres.
Elle voudrait une reforme pénale en rappelant qu' il y a trois dicton: liberté, égalité et fraternité et qu'on oublie souvent la fraternité, d'aider chacun...

Enfin, elle voudrait que le peuple de France avec ses capacités s'ouvre sur le monde, mettre en avant leurs capacités et de faire confiance aux jeunes , tout en pensant d'essayer de réduire le chômage. Ce nouveau monde est disponible pour elle , il suffit de tendre la main, bref un grand projet assez...utopiste...Car la France est dépendante du reste du monde et elle demande l'argent au reste du monde puisque que ses taux d'intérêts sont plus élevés que ceux du reste du monde. Pour un tel projet , il faut de l'argent et deviné qui devra payer si ce projet est lancé (on verra si  il sera fait jusqu'au bout, aussi).

Voilà ce fameux projet, idée de Aubry décortiqué (ou message politique pour rassurer ces électeurs?). Je vous salue chers amis français!

Joli pavé ma foi, bien que ton analyse tienne plus de la paraphrase à mon sens. Presque aucun jugement de valeur, j'aimerais bien connaitre ton avis sur tout ça mon petit Gironne

Salut à toi Gironne,

Pour commencer, je ne vais pas passer trop de temps sur ce post car il est souvent mal avisé de parler de politique sur un forum. Cependant, j'ai pris le temps de lire avec intérêt ta critique.

Il est clair de toute façon, que si Martine Aubry prenait la peine de se présenter aux élections présidentielles, elle serait sans aucun doute battu, quelque soit son adversaire. Sa côte de popularité est particulièrement basse.

Et c'est ainsi que le socialisme se rend compte que la divulgation de propos diffamateurs au sujet des extrêmes, principalement au sujet du front de droite, perdent tout leur intérêt au profit même de ces partis. Mais je ne devrai pas parler "d'extrême", car ce que Madame Aubry appelle un extrémiste, je l'appelle un nationaliste. Je suis d'accord pour dire que le nationalisme n'a pas toujours mené le monde vers le bien, il suffit de jeter un œil dans le passé pour s'en rendre compte. Mais le laxisme doit-il alors être adopté ? Le laisser-faire de la police sur un taux de criminalité impressionnant pour le bien physique de ces mêmes criminels ? Et la France dans tout ça, pense-t-on encore à son bien ? Les politiques non-nationalistes aujourd'hui sont corrompus, attisés par la volonté de former le monde selon leur idéal et dans un but unique, la disparition de toute notion idéologique sur un pays, une terre, une culture, une religion... Alors qui sont les intolérants ?!

Et quand je me dis français, une fierté formidable vient me prendre au coeur, celle d'avoir partagé la langue de Hugo, de Molière, de Louis XVI et de Bonaparte, la fierté d'avoir plusieurs fois régné sur l'Europe, quel pays peut en dire autant ? Et quand je vois ces politiques dont la honte scandaleuse représente l'intégralité de leurs pensées, qui veulent détruire cette idée de France, "Fille aînée de l'Eglise, Pays des Rois et des Conquérants, Berceau des Châteaux Fortifiés, Représentante de la Liberté par la voix du peuple" au profit d'une Europe qui ferait perdre toute prospérité, toute autorité de l'histoire sur le peuple de France, toute indépendance...

Et quand vous vous dites européens ? Que voyez-vous ? La dette, une crise des plus importantes dans l'histoire de ce monde, l'union des pays qui se donnent dès qu'ils le peuvent, des coups de couteaux dans le dos...

Non messieurs, je suis français moi, fier de l'être et je ne serai pas européen même après ma mort. Alors rangez vous aux côtés des vrais nationalistes, ceux qui comme moi voit la honte qu'est l'Europe, le régime sub-communisme que ces politiques corrompus mettent en place sans le savoir...

Enfin, il est possible que ma vision des choses est encore loin de la réalité, car je ne dis pas que haïr l'Europe fera de nous des exemptés de la crise, mais ma pensée n'est pas corrompue, elle vient du cœur et c'est ce que je veux souhaiter à tous les français.

Poney en tant que  membres sciences politiques je dois être impartial , je ne dois pas prendre partis, c'est une science. J'analyse.
Néanmoins, je voulais montrer comme par exemple à Napo les utopies de Aubry qui reposent sur la pensée et l'esprit et pas sur le réalité du monde et du terrain. Lille est encore assez épargné en ce moment de la crise bancaire et économique.
Concernant l'Europe, ce n'est pas un regime sub-communiste puisque l'union européenne, fondée sur des principes et sur des partis de gauche voulant la paix ,la prospérité le marché unique , coopératif et uni en repensant à ce qui s'est passé par les 2 guerres mondiales et par les crises économiques qui se sont succédées entre ces deux périodes se tend maintenant vers des idées et principes de droites (capitalisme concurrentiel à max, inégalités salariales) , délocalisation masives d'entreprises, aides aux pays en difficultés avec des taux intérêts très élevés en leurs demandant de serrer tellement la ceinture de se briser la colonne vertébrale ; la création de l'euro et l'attachement aux pays ex-Soviétiques ne sont juste un plan caché: En effet l'Europe veut se faire entendre, grâce aux moyens de la croissance démographique, économique, territoriale , un bloc assez important pour faire fluctuer le marché et concurrencer le dollars, par tous les moyens. Les hauts membres de  l'Union européenne (à part Barroso qui ne voit rien de ce qui se passe)  sont des bureaucrates économiques jouant avec la vie des millions de personnes par leurs plans européens (beaucoup de députés signent les arrêts de lois européens mais ne lisent pas car en marquant d'accord ou pas d'accord, ils empochent 300 euro pour chaque lois signés !). Le Pac , la politique agricole commune, diminue en budget, car le budget pour le personnel augmente ( à tord, très bien payés) et donc tous les petits commerçants et agriculteurs se font avoir par le grosses entreprises industrielles  qui rachètent tous leurs parcelles, en les indiquant gentiment qu'ils aillent voir ailleurs, l'aide aux sans abris a diminué également, des douanes dont écologique sont crées à l'intérieur de l'union européenne alors qu'au départ pas de douanes. L'Union européenne est à mis chemin entre les républicains et les démocrates américains .Le chômage, ils s'en moquent, c'est moins à payer des salariés...L'Europe est de droite, est Merkel, bien qu'elle camoufle, est la vraie pilote de l'union européenne et de cette politique et elle dirige la politique intérieure de l'union européenne.